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isabelle carré - Page 2

  • Des vents contraires

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    Leur couple est aux bords de la rupture, c’est par une nouvelle dispute que Sarah & Paul (Audrey Tautou & Benoit Magimel) ont commencé cette journée. 1 an après tout a changé. Depuis ce jour, la jeune femme n’a plus donné signe de vie laissant derrière elle un mari perdu mais également ses 2 enfants Clément & Manon (Hugo Fernandes & Cassiopée Mayance). Bien qu’il conserve l’espoir de la revoir un jour, Paul a besoin de souffler et décide de partir s’installer à Saint-Malo. L’occasion pour lui de se rapprocher de son frère Alex (Antoine Duléry) qui va par ailleurs l’embaucher dans son auto-école. S’adapter à cette nouvelle vie n’est pas évident d’autant plus que certains évènements vont venir troubler encore davantage cette famille.

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    Bien que le film s’articule autour de la disparition d’une mère et épouse, Des vents contraires s’intéresse surtout à la figure paternelle. Elle est d’abord incarnée par Benoit Magimel mais aussi évoquée à travers les portraits du père, de celui-ci de Samir, ex-mari désespéré ou d’Alex un homme aux envies de paternité jusqu’à présent insatisfaits. Le 2nd film de Jalil Lespert et adaptation du roman d’Olivier Adam séduit par la proximité que l’on ressent avec ses personnages, une galerie de portraits de gens blessés par la vie et ce sont ces simples rencontres qui vont faire renaitre un espoir disparu chez le héros. Un film émouvant qui sait rester modeste en dépit de quelques creux qui sont comblés par les superbes interprétations des comédiens sans oublier celles des enfants.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à vos enfants à peindre … puis préparer un bon bain !

  • Rendez-vous avec un ange

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    Notre pote Judith (Isabelle Carré) vient de se faire virer mais la seule chose à laquelle pense actuellement cette infirmière est de rejoindre son compagnon Roland (Sergi López) à l’opéra. Ce dernier est en effet un ancien journaliste de musique lyrique qui s’est reconverti bien malgré lui en vendeur. D’ailleurs, il aimerait bien faire son retour et espère décrocher une interview exclusive avec une grande cantatrice.  La communication n’est pas le fort au sein du couple, la jeune femme n’ose pas avouer qu’elle se retrouve sans travail mais Roland va finir par l’apprendre mais est surpris de constater que Judith continue de lui mentir à ce sujet. Ignorant ce qu’elle fait de ses journées, il commence à la suivre et c’est là qu’il la soupçonne de se prostituer pour sauver les apparences.

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    Déjà c’est un film très étrange que cette première réalisation de Sophie de Daruvar & Yves Thomas, par son ambiance et par le rythme emprunté. Si les airs d’opéra vous laissent de glace, il en sera de même avec Rendez-vous avec un ange d’autant plus que le scénario tient en quelques lignes et qu’il ne se passe pour ainsi dire rien durant les 1H40 que dure le film. Une fois qu’on a compris ce que fait réellement le personnage de Judith (à propos d’un sujet hautement polémique), il n’y a plus rien à attendre si ce n’est cette légère transformation de Roland. Même moi qui adore Isabelle Carré, j’ai trouvé le temps très long et malheureusement j’ai bien peur que ce long-métrage réussisse à combler beaucoup de spectateurs … d’ennui !

     

    Il faut le voir pour : Enregistrer un CD si vous avez peur d’avouer les choses !

  • Les émotifs anonymes

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    Angélique (Isabelle Carré) a une passion dans sa vie ; le chocolat. C’est ainsi qu’elle s’est lancée dans la cuisine et très vite son talent a été reconnu mais elle doit affronter un mal terrible, elle est émotive ! Le regard des autres la fait paniquer et afin de pouvoir continuer à travailler le chocolat ; elle en fabriquait en secret le magasin de Monsieur Mercier (Claude Aufaure) et le succès est vite arrivé. Hélas à la mort de Mercier, elle se retrouve démunie et répond à une annonce  d’une fabrique de chocolat en perdition. Le patron Jean-René (Benoit Poelvoorde) parait dur en apparence mais lui aussi est un émotif et l’arrivée d’Angélique pourrait bien lui changer la vie.

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    Voici une excellente surprise à déguster tout comme on dégusterait une belle boite de chocolat. Il faut bien l’avouer, notre gourmandise s’éveille devant la noblesse du chocolat ; comment résister en l’entendant craquer sous la dent ? Et puis, il y a Isabelle Carré et Benoit Poelvoorde (couple parfait à l’écran soit dit en passant) tous deux fondants dans leurs rôles d’émotifs, tendres et si attachants ce qui donne de drôles de situations. C’est par le rire que Jean-Pierre Améris choisit de nous faire vivre le quotidien des émotifs même si on prend bien conscience que leur vie est loin d’être rose. Les émotifs anonymes est la comédie idéale pour débuter cette nouvelle année sur une vague de douceur alors ne vous privez pas !

     

    Il faut le voir pour : Allez vous acheter une boite de chocolats.


    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • Le refuge

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    Certains couples vivent d'amour et d'eau fraiche ; Mousse & Louis (Isabelle Carré & Melvil Poupaud) tournent eux plutôt à l'alcool et la drogue. Et puis un jour c'est le drame, de la cocaïne mal coupée provoque une overdose chez le couple et seule la jeune femme parvient miraculeusement à échapper à la mort. A l'hôpital, elle apprend alors qu'elle est enceinte de 8 semaines. Au départ, elle ne sait pas vraiment si elle a l'intention de garder ce bébé ; quant à la famille de Louis, elle a fait savoir qu'un avortement serait préférable. Quelques mois plus tard, Paul (Louis-Ronan Choisy) le frère de Louis va rendre visite à Mousse qui s'est retirée dans une maison à la campagne. Son ventre est arrondi, elle a gardé l'enfant.

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    Après avoir donné naissance à un ange dans Ricky, François Ozon continue d'explorer la maternité passant à un tout autre registre. Isabelle Carré campe une junkie qui doit faire face d'une part à la disparition de son compagnon et d'autre part à une grossesse inattendue. Le refuge est un film simple, sans artifices décrivant le terrible combat d'une femme contre ses propres démons. Minimaliste, le réalisateur dresse un portrait émouvant en grande partie grâce à son actrice principale Isabelle Carré resplendissante. En revanche, son déroulement assez lent pourrait rester en travers de la gorge de certains d'entre vous.

     

    Il faut le voir pour : Faire attention aux mecs qui fantasment sur les femmes enceintes.

  • Tellement proches

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    Il aura tout tenté mais notre pote Alain (Vincent Elbaz) n’y échappera pas ; il va devoir se coltiner un diner avec sa belle famille. Difficile pour lui de supporter Jean-Pierre (François-Xavier Demaison) et sa famille parfaite mais Nathalie (Isabelle Carré), la femme d’Alain ne lui a pas vraiment laissé le choix. Dès leur arrivée, les premières remarques fusent puisqu’ils n’ont pas pu faire garder leur fils Lucien (Max Clavelly), une véritable tornade ambulante et ce n’est pas ce soir qu’il va se calmer. Et puis il reste encore à attendre Roxanne (Joséphine de Meaux) qui va débarquer avec son nouveau compagnon rencontré il y a à peine quelques heures.

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    Après nous avoir fait passer de belles vacances avec Nos jours heureux, le duo Eric Toledano & Olivier Nakache s’attaque désormais à la famille et une fois encore c’est une comédie savoureuse qui nous est servi. S’appuyant sur la légendaire mésentente avec la belle famille, Tellement proches nous dresse un portrait magnifique où chaque membre enrichit réellement le scénario. De Vincent Elbaz en mari immature à la géniale Audrey Dana prête à se convertir au Judaïsme pour assurer l’avenir de sa fille ; le casting est parfait. Pas étonnant donc de rire et même de verser une petite larme émue devant ce nouveau Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Retenir l’histoire de l’architecte des immeubles de Créteil.

  • Cliente

    Bonjour, je suis Judith (Nathalie Baye).

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    01.jpgÇa a commencé quelques temps après mon divorce, 4ans exactement. Une séparation que j’ai eu beaucoup de mal à accepter. Je surfais sur le net et je suis tombé sur un site d’escort, c’est facile ; vous avez une photo, leurs activités et leurs loisirs il suffit juste de faire son choix.

     

    Mon premier s’appelait Lucas, le même prénom que mon ex-mari depuis une à deux fois par mois je vois quelqu’un pour mon simple plaisir. Le prince charmant ? Ma sœur Irène (Josiane Balasko) n’arrête pas de m’en parler mais je me suis fait une raison. Il doit exister au même titre que les hommes verts de Mars.

     

    02.jpgActuellement je fréquente Patrick (Eric Caravaca), très bel homme mais c’est bien la première fois que j’en revois un de manière si régulière.

     

     

     

    En savoir plus sur Cliente ?

  • Musée haut, musée bas

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    Rien ne vaut une bonne sortie culturelle ! Quel plaisir de pouvoir aller admirer les œuvres ancestrales des plus grands artistes et c’est bien pour cela que le Musée Haut, Musée Bas vous accueille comme il se doit. Vous apercevrez forcément le conservateur, Mosk (Michel Blanc) qui est là pour veiller aux moindres détails et surtout pour protéger les œuvres contre les immondes végétaux capables de s’incruster n’importe où. Il y a tellement de choses à découvrir dans ce musée que vous vous surprendrez à y passer votre journée ou bien alors c’est parce que vous ne retrouvez pas votre voiture !

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    Ce qui est frappant dans Musée haut, musée bas c’est évidemment le casting d’une richesse folle. On ne va pas tous les citer mais vous retrouverez entre autres Gérard Jugnot, Isabelle Carré, François-Xavier Demaison … Une belle vitrine donc pour cette adaptation de la pièce de théâtre de Jean-Michel Ribes comme pour masquer les faiblesses du film. Les scènes se succèdent nous faisant visiter les 4 coins du musée (allant même jusqu’aux petits coins) mais il y a un manque évident de liant dans l’ensemble. Certaines scènes sont assimilables à de l’art abstrait, c’est beau mais on n’y comprend pas forcément grand-chose ; à voir si vous n’aimez fréquenter les musées qu’au cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Détruire toutes les plantes vertes.

     

  • Cliente

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    Ne parlez jamais du grand amour à Judith (Nathalie Baye) car elle vous rirait au nez ! Cette quinquagénaire ne croit plus au prince charmant depuis son divorce et quelques temps après elle a découverte l’escort. Avec Internet et en quelques clics, elle peut trouver l’homme qu’il lui faut et quand elle le souhaite ; son dernier choix s’appelle d’ailleurs Patrick (Eric Caravaca). Contre quelques centaines d’euros, elle obtient ce qu’elle veut sans les complications d’un couple et c’est très bien comme ça. Pourtant, ses relations avec Patrick deviennent de plus en plus fréquentes jusqu’à mettre en péril la vie privée du jeune homme.

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    Ce n’est pas tous les jours que le cinéma s’intéresse à la vie sexuelle des femmes et c’est sans tabous que Josiane Balasko s’y colle. Nathalie Baye y incarne une femme qui ne croit plus aux illusions de l’amour après une énorme déception et qui préfère se rassurer à coups de billets. Au départ c’est plutôt sympa, on découvre cette relation atypique ainsi que le quotidien des deux intéressés notamment la vie de présentatrice de télé achat de Judith. Après ça se gâte un peu, le triangle Baye/Caravaca/Carré se forme et là il ne se passe plus grand-chose si ce n’est des pleurs et des regrets.


    Il faut le voir pour : Apprendre que les indiens ne font pas Hugh !


    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • Anna M.

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    Anna (Isabelle Carré) est une jeune femme comme beaucoup d’autre mais au fond d’elle, elle souffre d’un mal étrange. Vivant en compagnie de sa mère, elle souffre de l’absence d’amour et c’est d’ailleurs ce qui l’a poussé à tenter de se suicider en se jetant au devant d’une voiture. Heureusement, elle s’en sort indemne et se réveille dans le service du docteur Zanevsky (Gilbert Melki) ; une rencontre décisive. Elle le sent, le médecin la désire et c’est en le suivant qu’elle récolte tous ces signes qui ne trompent pas mais pour qu’ils puissent vivre leur passion ; il faudra qu’elle se débarrasse de sa femme !

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    Qui aurait cru qu’être harcelé par la charmante Isabelle Carré puisse être un calvaire et pourtant après avoir vu Anna M., vous changerez vite d’avis ! Ce film porté par la grande performance de la comédienne tout d’abord excentrique puis profondément inquiétante (notamment durant la scène avec les 2 Petites filles) va vous faire froid dans le dos. L’occasion pour le grand public d’observer une maladie peu connu : l’érotomanie ce qui nous donne un thriller assez sympa.

     

    Il faut le voir pour : Vous assurer que personne ne vous suit !